PROGRAMME DISCRIMINATION VIOLENCE SANTE

Présentation

Le Programme Discrimination Violence et Santé (PDVS) est un service de formation intervenant dans différents champs à la jonction de la santé publique et de la cohésion sociale : Santé Mentale, Harcèlement, Discrimination, Phénomène de Bouc Emissaire, Pair-aidance.

Nos formations sont dispensées à l’échelle nationale et au sein de la Francophonie.

PUBLIC

• Les collectivités, les associations, les entreprises publiques ou privées engagées dans des missions diverses de santé publique et de cohésion sociale (« lutter contre les violences », «Agir contre les discriminations », « Vivre ensemble », « Améliorer le climat professionnel »…).
• Les établissements scolaires qui souhaitent prévenir et sensibiliser les jeunes et les adultes aux phénomènes de bouc-émissaire et aux discriminations, à la détection de toute forme de harcèlement et au traitement individuel et collectif des conséquences.

MISSIONS

• Repérer des situations indécelables si l’on se place du côté de la norme, de la règle, de la loi…
• Agir auprès de personnes isolées ou harcelées.
• Intervenir auprès de toute situation de violence et de souffrance et plus spécifiquement pour prévenir les situations de grand mal-être pouvant aller jusqu’au suicide.
• Proposer une perspective commune face à des phénomènes très diversifiés dans des contextes contrastés : moqueries, ostracisme, jeux de bagarres, règlement de comptes, rackets, discrédit, humiliation, cyberharcèlement.

METHODE

• Un travail de psychologie communautaire à partir d’un cadre d’analyse, notamment celui du « modèle des quatre postures », dont tout à la fois la richesse et la simplicité vont permettre une compréhension en profondeur des situations de bouc-émissaire.
• Une pédagogie  grâce à laquelle les compétences et les savoir-être des « Référents » et des « Sentinelles » se partagent de façon paritaire, au bénéfice de la dynamique du groupe.
• L’auto-support : capacité d’un groupe humain à s’autodéterminer lorsque ce qui les environne stigmatise ses membres, et le fait que chaque membre possède en lui-même les ressources nécessaires pour savoir quels sont les meilleurs choix à faire concernant sa propre vie.
• La santé communautaire : participation d’une communauté à l’amélioration de sa santé à travers une réflexion collective, l’expression des besoins prioritaires et une participation active à la mise en place et au déroulement des activités les plus aptes à répondre à ces priorités.
• L’association et la concertation de toutes les parties dans l’esprit d’une écoute mutuelle et sur la base d’un processus de co-construction collective.
• Une méthode pédagogique permettant un accompagnement au travail sur soi à partir des interactions avec le groupe.
• De nombreux outils (concepts, films, échanges, mises en situation…)

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